Les plastiques se fragmentent avec le temps et se transformer en microplastiques, imprégnant tout notre environnement, impossible à voir, impossible à collecter et dangereux pour nos écosystèmes, nos économies (tourisme, pêche, etc.) et notre santé.
Comme nous le voyons pour le changement climatique, réparer les conséquences de la pollution coûte bien plus cher que prévenir le problème. Et ce n’est qu’un début.
Prenons l’exemple d’un sac plastique (dont l’utilisation n’excède souvent pas quelques minutes) qui est jeté dans l’environnement.
Les plastiques se fragmentent avec le temps et se transformer en microplastiques, imprégnant tout notre environnement, impossible à voir, impossible à collecter et dangereux pour nos écosystèmes, nos économies (tourisme, pêche, etc.) et notre santé.
Comme nous le voyons pour le changement climatique, réparer les conséquences de la pollution coûte bien plus cher que prévenir le problème. Et ce n’est qu’un début.
Prenons l’exemple d’un sac plastique (dont l’utilisation n’excède souvent pas quelques minutes) qui est jeté dans l’environnement.
L’accumulation des plastiques sera alors si énorme que les dommages seront irréversibles.
Ce sont des mesures comme l’amélioration de la gestion des déchets, les règlements et décrets et leur mise en application, la bonne gouvernance, l’éducation et la sensibilisation, l’interdiction des plastiques à usage unique, le retrait des plastiques fossiles, l’utilisation de plastiques biodégradables et non dangereux pour l’environnement, l’écoconception des produits, etc.
Si les initiatives actuelles montent en puissance, cela prendra plusieurs décennies au mieux. Des facteurs comme la pauvreté persistante et un manque de compréhension des enjeux tendent à ralentir l’efficacité des efforts en cours et à venir. Mais on peut être plus optimiste si tout le spectre de mesures est mis en oeuvre, y compris la collecte.
Seul un petit pourcentage des plastiques peuvent encore être collectés lorsque ces derniers s’éloignent des côtes. Or, nous ne pouvons nous permettre d’avoir une accumulation des déchets marins qui s’accroissent beaucoup au risque de nous diriger vers la mort lente des océans et de l’humanité dont l’avenir dépend de la bonne santé des océans.
Ce sont des mesures comme l’amélioration de la gestion des déchets, les règlements et décrets et leur mise en application, la bonne gouvernance, l’éducation et la sensibilisation, l’interdiction des plastiques à usage unique, le retrait des plastiques fossiles, l’utilisation de plastiques biodégradables et non dangereux pour l’environnement, l’écoconception des produits, etc.
Si les initiatives actuelles montent en puissance, cela prendra plusieurs décennies au mieux. Des facteurs comme la pauvreté persistante et un manque de compréhension des enjeux tendent à ralentir l’efficacité des efforts en cours et à venir. Mais on peut être plus optimiste si tout le spectre de mesures est mis en oeuvre, y compris la collecte.
Seul un petit pourcentage des plastiques peuvent encore être collectés lorsque ces derniers s’éloignent des côtes. Or, nous ne pouvons nous permettre d’avoir une accumulation des déchets marins qui s’accroissent beaucoup au risque de nous diriger vers la mort lente des océans et de l’humanité dont l’avenir dépend de la bonne santé des océans.
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